mercredi 24 août 2011

Il vaut mieux tard que jamais !

Après la  route, on a eu la voiture . Mon père a passé son permis au Puy en Velay ( bien que pour l'époque, il s'agissait d'une simple formalité , mon père était fier de nous raconter dans le menu détail cette expérience mémorable ).
Je me souviens avoir vu traîner le livre du code de la route à la maison et beaucoup de panneaux restaient bien mystérieux  pour la simple et bonne raison qu'on ne risquait pas de les croiser en chemin!

De plus, la raison d'être de tous ces panneaux nous échappait un peu. Il y avait un côté arbitraire dans toutes ces interdictions, obligations, ...  !
J'en veux pour preuve  cette anecdote  encore présente dans ma mémoire aujourd'hui.

Au village, le seul panneau qui sortait du lot était le STOP ...il était si célèbre qu'il avait un nom . On l'appelait  "le stop de chez Lavastre".
Un paysan du village qui avait oublié de s'arrêter au stop, s'est arrêté un peu plus loin (devant le prochain bistro). Il  disait très sérieusement : "j'ai oublié de m’arrêter au stop de chez Lavastre, je me suis arrêté chez Reynaud . Si les gendarmes m'avaient vu, ils auraient bien vu  que j'ai fait preuve de bonne volonté"

1 commentaire:

  1. hi hi hi
    la première fois que je suis allèe à Beyrouth il y avait un croisement avec feu tricolore près du centre, que personne ne respectait !
    le seul de toute la capitale
    pour une capitale c'était rigolo, puisque toute la ville vivait selon la règle , que si tu veux passer , passe , sinon tu restes à la même place ....

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